Des exemples aberrants : Une rampe d’accès aux personnes à mobilité réduite avec des marches juste à côté.
Comme si une personne valide ne pouvait pas marcher sur une rampe.
En faisant des cheminements communs, la personne à mobilité réduite oublie sa différence (Sujet de mon diplôme d’architecte DPLG en 1998 « La ville pour tous »).
Concernant l’aspect esthétique du bâtiment, je pense qu’il faut intervenir en douceur tout en pensant aux futurs utilisateurs du lieu.